Hey ! Euhm, euhm, alors je suis Nyla-Devon Reeves et j'ai 19 ans. Je suis née le 12 décembre 1993 à lieu de naissance. J'ai une vie bien chargé puisque je suis étudiante en musique et je m'y plais. Question amour, je suis célibataire N'ayez pas peur de moi, je suis qu'un(e) métamorphe et j'appartiens au circle daybreak .

Est ce que vous croyez aux âmes soeurs ? Oui, enfin, je ne sais pas trop. Je sais que mes parents était des âmes sœur, mais pour l’instant je n’ai pas connu le miens. J’ai eu plusieurs petits amis, mais aucun n’a fait clip. Je n’ai jamais eu de papillon dans l’estomac et le cœur battant au point de sortir de ma poitrine. J’attends toujours le bon, mais je n’y crois plus vraiment. J’ai tellement souffert que maintenant l’amour passe en second, mais je ne dirai pas non si l’amour me tombe sous le nez.
Qu'est ce que vous pensez des humains ? Entre moi et les humains, c’est une grande histoire d’amour ! Non, mais c’est vrai. Je les adore et pour rien au monde, je leur ferais du mal. Parfois, j’aimerais être comme eux et ne rien savoir du surnaturel. Leur vie à l’air si simple, bien que ce n’est pas toujours vrai. J’admire leur force, leur endurance et leur gout à la vie. C’est pour cette raison que j’adore passer du temps avec eux.

Bonjoour ! Alors je suis Val plus connu sous Reana. J'ai connu ce forum grace à Bazzart et la Fondatrice et je trouve qu'il est sublime ! Vous êtes des brutes !. Je me connecte régulièrement, c'est à dire 4/7J. & la célébrité sur mon avatar est Demi Lovato

« Vieillir c'est se rappeler son enfance. »
le moment de ma vie que je ne veux pas oublier
« NYLA DEVON REEVES ! RAMÈNE TES FESSES ICI !» Oups ! Ça c’est ma mère qui doit surement découvert ma gaffe. Ma mère et moi, on a toujours été proche. C’était ma meilleure amie et peut-être même la seule. Quand je suis venue au monde, ma mère et mon père avaient pris la décision de quitter la ville pour aller vivre en campagne. Ils ne voulaient pas que la ville me monte à la tête. Mon père avait des projets pour moi et ma mère aussi. Puisque j’étais leur seule enfant, mes parents voulaient que je sois autonome jeune, responsable et surtout pas une fille pourri gâtée. Donc, j’ai vécue dans une ferme jusqu’à mes cinq ans environs. Après ça, on est parti pour une maison plus grande. Ma mère attendais des jumeaux et la maison ou on restait n’avais que deux chambre et une salle de bain. Pas assez grand pour une future famille de cinq. Donc on a quitté la ferme pour une magnifique maison dans le quartier Est de Philadelphie. Mon père avait une promotion et on avait dû déménager dans cette ville. En plus, sont travail lui donnait une maison et quelques trucs utiles. Et oui j’ai toujours vécue à Philadelphie et c’est la seule ville que je connais… Enfin non, mais bon ça c’est plus tard. Pour l’instant, nous venons seulement d’emménager dans notre nouvelle maison et déjà, j’ai réussi à briser le cadre préféré à ma mère. Bon ce n’était pas ma faute, je jouais avec mon chien et j’ai malencontreusement lancé son jouet sur le cadre. À six ans c’est pardonnable non ? Enfin bref, sortant de ma cachette timidement, je fis face à ma mère avec mes fameux yeux de chat potté. « Oh non jeune fille, ne me fais pas c’est yeux là.» Je continuai jusqu’au moment où ma mère me pris dans ses bras et commença à me chatouiller ! « Oh non pas ça ! Pas ça !» Au même moment, mon père entra dans le salon et je courus dans ses bras. J’adorais mon père et surtout le temps que je passais avec lui. Pourquoi je parle de lui au passée ? Eh bien, il est parti lorsque j’avais huit ans et comme ma mère avait du mal à s’occuper de moi, j’ai vécue chez mes cousins Lukas et Oliver pratiquement toute mon enfance. Mon père était dans les marins et il devait souvent prendre le large. Il était un métamorphe et son animal était un dauphin, donc c’était évident pour lui qu’un métier dans la marine était parfait. Pour ce qui est de ma mère, elle était un ours blanc. Vive l’hiver parce que pour ma part, j’ai hérité du tigre des neiges.

« Le rêve est nécessaire quand s'achève à jamais le temps de l'adolescence. »
Il faut parfois vieillir pour se faire aimer.

Après le départ de mon père, je me suis renfermé sur moi-même. J’étais la fille coincée de mon école. J’avais une coupe de cheveux vieillots et des lunettes qui me faisait des yeux de mouche. Rien pour m’aider finalement. Seulement, ce n’était que mon apparemment qui ressemblait à la Nerd pi la geek du lycée. Tous les soirs, en revenant d’u lycée, Oli et moi, on s’écrasait devant la console de jeux et on passait nous soirée à jouer. Lukas était désespéré, mais nous on riait. Je jouais plus avec lui qu’avec les filles de mon âge. Moi, joué à la poupée ou autres, je détestais. Moi c’était les trucs de mecs. Avec deux cousins, je n’avais pas trop le choix. Après mon père, c’était ma mère qui a quitté la ville. Je n’ai jamais su pourquoi et ma tante non plus. Et pour ne rien laissé paraitre à l’école, sur ma détermination et sur mon changement de personnalité, j’avais opté pour un style discret et qui disait tout le contraire. Seulement, je n’avais pas pensée que ça irait si loin. Un matin, alors que je me rendais au lycée, j’avais aux alentours de seize ans, on commença à me harceler. Je ne savais pas du tout pourquoi, mais j’étais devenue la soufre douleur de tout le monde. Peut-être parce que j’étais la numéro un dans toute l’école. J’avais hérité d’une mémoire eidétique, ce qui fait que j’avais des cents pourcent dans toutes les matières. Mais, je n’aurais jamais cru que je serais maltraitée, mais surtout, je n’aurais jamais cru ce que je ferais par la suite.

« L’adolescence est le temps où il faut choisir entre vivre et mourir. »
les pires années de ma vie

Ce que j’ignorais, c’était que les remarques des autres allaient autant me toucher autant. J’ai essayé de changer à plusieurs reprise, mais rien ne marchais, j’étais toujours la Nerd, la Geek et le souffre-douleur. J’aurais pu en parler à Lukas ou Oli, mais ça n’aurait fait qu’empirer avec les répliques du genre « t’as besoin de ton cousin pour te protéger ». Enfin des trucs du genre donc j’ai enduré encore quelques temps jusqu’à sombrer dans la drogue. Et oui, je suis tombée aussi bas. Je ne savais plus quoi faire, et c’était les seule personne qui m’accepter encore. J’avais du plaisir avec eux, mais ce n’était pas du « vrai ». C’était que du rêve, mais je m’en foutais, j’étais acceptée. Mais après quelque semaines, une de mes amies a fait une overdose sous mes yeux, et j’en ai fait une… Enfin on m’a amené à l’hôpital à temps. J’aurais pu mourir mais quelqu’un en a décidé autrement. C’était Lukas. Il m’avait surement suivi après avoir quitté la maison pour me rendre au hangar, mais je l’en remercie, il m’a sauvé la vie. Au début, j’aurais surement piqué une crise, mais j’avais choisi de vivre. Après ma sortie de l’hôpital, je devais aller en désintoxication pour reprendre le bon chemin et surtout pour montrer à ma tante et mon oncle que j’avais changé et que je voulais retrouver une vie normal.

« Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l'appelle renaissance. »
j'ai eu droit à une deuxième chance, et j'en suis très heureuse.

À seulement dix-sept ans, j’étais déjà en centre de désintoxication. Bon ce n’était pas seulement pour cette raison que c’était important. Le centre se trouvait à l’extérieure de la ville et ma famille ne venait pratiquement pas me voir, sauf peut-être Oli. J’étais sept jours sur sept au centre et je n’avais pas moyen de sortir. C’était l’enfer quoi ! Sauf que, ce l’étais pour vrai. Après ma première semaine, j’ai subi ma première transformation. Vous imaginez vous, devenir un tigre blanc en plein milieu d’une séance de thérapie avec pleins d’autres jeunes ? Je ne sais pas pourquoi mon animal était un tigre, surtout blanc, mais c’était plutôt drôle de voir le monde flipper devant moi. C’est que plus tard que j’ai appris que le centre était pour les êtres surnaturels comme moi. Mon oncle avait choisi celui-ci justement à cause de ma nature. Il savait que je n’avais pas subit ma première transformation. Je suis sortir du centre deux mois plus tard et il ne s’est plus rien passée après ma transformation. Je pouvais la contrôler et me transformer lorsque je le voulais. Après ça, je me suis reprise en mains et j’ai recommencé les cours, mais cette fois en restant moi-même. C’est-à-dire, avec un look beaucoup plus sexy, rebelle et à la fois garçonne, mais la première chose que je fit en sortant du centre, ce fut de me faire tatouer un papillon pour ne jamais oublier que j’ai choisi de vivre…

« Une famille qui crie est une famille unie. »
nous serions rien les uns sans les autres

Après la désintox, je suis retournez chez ma tante et mon oncle parce que ma mère n’avait jamais refait surface. J’avais besoin de soutien surtout après tout ce que j’avais vécu. Ce n’était pas le temps de rechuter. Je devais me battre pour rester forte. J’ai réussi grâce au soutien de Lukas avec sa tête dure, il m’a montré comment être forte à mon tour et ne pas me laisser marcher sur les pieds. Avec Oli on a passé des bons temps. Même s’il est plus jeune que moi, on a fait la fête entre nous, on a fait les fou jusqu’à tard dans la nuit devant des jeux vidéo. Mais ce qui reste le plus fous de tous, c’est que j’avais l’impression d’avoir une vraie famille. J’avais pratiquement grandit avec eux et ma tante, je l’appelais pratiquement « maman » et mon oncle « papa ». Un peu plus et j’appelais mes cousins « frérot ». J’avais même ma propre chambre. C’est fou, non ? Enfin bref, c’est la seule famille qui a été là pour moi et je les remercie pour ça. Grâce à eux, je suis toujours vivante… C’est pas comment ma mère qui a fui et mon père qui n’est jamais revenu. Je les soupçonne d’avoir refait leur vie ailleurs…

« Le présent est indéfini, le futur n’a de réalité qu’en tant qu’espoir présent, le passé n’a de réalité qu’en tant que souvenir présent. »
il ne faut jamais regarder en arrière, mais vivre le présent sans passer au futur.

Voilà mon histoire. Enfin mon passée. Maintenant j’ai dix-neuf ans et je continue mes études bien que je m’amuse une bonne partie de mon temps libre. Je suis doué en cours, alors je peux sortir souvent ou juste ne pas étudier. Avec Oli, on fait les quatre cents coups et on passe notre temps avec les humains. Contrairement à Lukas, nous aimons les humains et on les trouve plus accueillant que les êtres surnaturels. Dans un sens, ils sont plus humains que nous… Euh vrai à 100%. Enfin bref, on est inséparable et notre nature le prouve. Tous les deux, on est des tigres. Notre oncle, nous as raconté que dans nos ancêtre, c’était déjà arrivée et du coup, parce qu’on a une relation très forte et qu’on se ressemble beaucoup, on a eu un animal pareil. Du coup, on est comme les deux doigts de la main. Je t’aime mon p’tit Oli ♥.